La, la, la Je ne l’ose dire – Pierre Certon

Alauda à La Chapelle Saint-Laurent en 2015
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La Vidjiamé – Étienne Perruchon

Partition complète
Partition sans piano

Le Visage de l’Amour – Les Visiteurs du Soir

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Missa Brevis – Antonio Lotti


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Milost mira – Alexandre Archangelsky

Depuis le 30 mars, quelques améliorations suggérées par Marie-Agnès sont disponibles sur la partition pour une prononciation plus réaliste. Réimprimer ou corrigez votre exemplaire en le comparant avec la partition ci-dessous. De plus, chez les sopranos, mesure 79, le dernier la♭ est un si♭ et mesure 81, le la♮ est un si♮ (mp3 corrigés)


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Liens :

Clavier russe

Vidéo utile pour la prononciation

Psaume 92 – Louis Lewandowski


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Pater Noster – Piotr Ilitch Tchaïkovski


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Ave verum corpus – William Byrd

Liste de lecture de Ave Verum Corpus


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Yesterday – Les Beatles

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Michelle – Lennon / McCartney

Bande son du concert (source) :

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Arrangement d’Alain Chassande-Mottin

A Gaelic Blessing – John Rutter

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Barechu – Salomone Rossi

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Partition Éditions « A Cœur Joie »
L’USC Recital Choir ne chante pas exactement le même arrangement

Psaume 103 – Louis Lewandowsky

interprété à La Flocelière en 2011 sous la direction de David Rambaud

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There are some men – Philip Glass

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Dirait-on – Morten Lauridsen

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Contre qui, Rose – Morten Lauridsen

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Ave Maria – Javier Busto

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Stabat Mater – Zoltán Kodály

est un poème latin médiéval qui est souvent considéré comme l’expression classique d’une nouvelle forme de piété, caractéristique de la fin du Moyen Âge. L’affliction en est le thème central, le croyant étant plus à même de ressentir la douleur humaine de Marie plutôt que celle de son fils crucifié mais de nature divine !

En larmes, près de la croix, et malgré sa douleur,
Elle était debout, la Mère du fils de Dieu.

Zoltán Kodály est le compositeur autrichien qui l’a mis en musique. Né en 1882 dans une famille de musicien, il devient ethnomusicologue et avec Béla Bartók, il recueille et publie une quantité considérable de chants traditionnels nationaux.

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Près du fleuve étranger – Charles Gounod

d’après le Psaume 137(136), a été mis en musique par Charles Gounod. Ce Psaume raconte l’exile des juifs à Babylone suite à la conquête de Nabuchodonosor. Ce peuple loin de son temple refuse alors de chanter. Cette souffrance leur fait crier vengeance.

Malheur à toi, Babylone !

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Paroles

Près du fleuve étranger conduits par nos vainqueurs,
nous nous sommes assis lassés de tant d’alarmes,
Ton souvenir Sion a vibré dans nos cœurs
et nous tournons vers toi
nos yeux remplis de larmes !

Au saule incliné sur le bord,
notre harpe qui se balance,
Mêle à nos pleurs dans le silence,
la voix de son plaintif accord.

Au sein de leurs impures fêtes
parmi leur autels détestés,
Nos tyrans nous ont dit :
chantez, chantez, les chants sacrés de nos prophètes.

Seigneur, sous ce joug odieux,
séparés de nos lois antiques,
comment chanter tes saints cantiques,
loin du temple de nos aïeux.
Jérusalem, chère patrie.

Que mon sang se glace en mes doigts,
que ma lèvre reste sans voix.
Jérusalem, Jérusalem, Jérusalem !

Que ma lèvre reste sans voix.
Jérusalem, si je t’oublie.
Malheur à toi, fille de Babylone !

Nous fuirons ton impur séjour.
Et l’éternel brisant ton trône
fera pâlir ton dernier jour !

Tes ennemis, dans leur colère,
viendront de leurs bras triomphants,
à tes yeux briser sur la pierre
le front maudit de tes enfants.
Malheur à toi, fille de Babylone,
Malheur, malheur, malheur !

Cantique de Jean Racine – Gabriel Fauré

est une pièce vocale composée en 1865 par Gabriel Fauré, alors qu’il n’était âgé que de 19 ans. Le texte écrit par Jean Racine est une paraphrase de l’hymne « Consors paterni luminis » datant du Moyen Âge qui était chantée au début des matines.

Boga-Boga – Jesus Guridi

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Répétitions 2017-2018

Programme de l’année 2017-2018

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Viva tutte le vezzose – Felice Giardini

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Texte :

Viva tutte le vezzose,
donne amabili graziose,
che non hanno crudeltà.

Viva sempre, viva, viva,
che da loro sol deriva
la magior felicità.

Traduction :

Vivent toutes les belles femmes aimables,
gracieuses, qui n’ont pas de cruauté !
Qu’elles vivent toujours car d’elles seules
provient le plus grand bonheur.

S nami bog

Brume – Francine Cockenpot

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Le Grand Chœur chante « Brume » de Francine Cockenpot avec l’arrangement de Jacques Barathon, lors du concert « Amis de Mots » de la Passerelle 2015

Slava v Vychnikh Bogou – Mikhaïl Strokine

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Ave, Verum Corpus – W. A. Mozart

Texte:

Ave, Ave verum Corpus natum
De Maria Virgine!
Vere passum immolatum
In cruce pro homine!
Cujus latus perforatum
Unda fluxit cum sanguine!
Esto, nobis, praegustatum,
In mortis examine.

Traduction :

Je te salue, vrai corps né
de la Vierge Marie,
Qui a vraiment souffert et avez été immolé
sur la croix pour l’homme,
Toi dont le côté transpercé
a laissé couler du sang et de l’eau.
Puissions nous te recevoir
dans l’heure de la mort.

Répands, charmante nuit – Jean-Baptiste Lully

de Jean-Baptiste Lully, compositeur du XVIIe siècle, qui a dominé la vie musicale en France à l’époque du roi Soleil et a eu une grande influence sur la musique européenne. Interprété par le grand choeur à Mauléon en 2017

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Cipriano-De-Rore-Ancor-che-col-partire.pdf

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Texte:

Répands, charmante nuit
Répands sur tous les yeux
De ta douceur, le calme et l’innocence.
Et ne laisse approcher de ces aimables lieux
Que les cœurs où la paix élit sa résidence.

Tes ombres et ton silence
plus beaux que le plus beau jour
Offrent de doux moments
qu’on revivrait toujours.